Faudrait savoir ! Depuis des mois, la droite casse les pieds à la gauche sous prétexte qu'elle n'a pas de programme et maintenant qu'elle en a un, voilà qu'elle cherche à le dénigrer. Tenez, l'aiglon de Meaux, qui par conséquent est un Meldois, souvent dans l'oeil mais pas toujours, d'autant qu'il est fils de proctologue (merci Wikipédia), semble tellement aigri que certains l'appelle l'amer de mots. Il est vrai qu'il n'en trouve pas d'assez durs pour décrire la gauche molle ! Meldois prends garde, toi qui fit jadis partie des gosses Meldes, même si tu fis sciences pot, il n'y a pas que de la confiture dans la vie ! Pourtant, il n'y a pas de quoi faire un fromage du programme de la gauche, même entrevu de la ville des cornichons.
Il suffit de faire son marché...
« Je favoriserai le développement des pays pauvres, en cessant d’aider les gouvernements corrompus, en mettant en place une Union méditerranéenne avec les pays du Sud, en donnant la priorité à l’Afrique. Je m’intéresse à l’Afrique et je la respecte. »
« Je soutiendrai l’agriculture et l’industrie agroalimentaire »
« Si je suis élu je mettrai en œuvre un grand plan Marshall de la formation pour tous les jeunes de nos quartiers, pour qu’aucun ne soit laissé de côté, pour que chacun puisse tenter sa chance, pour que chacun ait un emploi.»
« Je n’accepte pas, et des milliers d’entrepreneurs avec moi, que le travail salarié et l’esprit d’entreprise soient bafoués par les rémunérations et les privilèges excessifs que s’octroie une toute petite minorité de patrons. Je n’accepte pas qu’au niveau mondial, pour des raisons de pur profit, on joue avec les salariés et avec les usines comme on déplace des pions sur un jeu de société. »
« Depuis vingt-cinq ans, on vous dit que le plein emploi est impossible et que le chômage est une fatalité. Rien n’est plus faux. »
« Ma stratégie économique, c’est de libérer les forces de travail en France pour créer ce point de croissance qui nous permettra de résoudre les questions de déficit.»
« La maîtrise de nos finances publiques est un impératif moral autant que financier. Les jeunes générations ne peuvent accepter que les générations actuelles vivent à leur crédit .»
« Je m’engage à ramener la dette en dessous des 60% du PIB d’ici 2012.» « Je veux être le Président d’une France qui se sente solidaire de tous les proscrits, de tous les enfants qui souffrent, de toutes les femmes martyrisées, de tous ceux qui sont menacés de mort par les dictatures et par les fanatismes.»
« Dans les quartiers où s’accumulent tous les problèmes de l’exclusion et du chômage, je propose de créer des classes de quinze élèves dans les collèges et les lycées.» Ou encore : « Il faut d’abord que nos enseignants exercent leur métier dans de bonnes conditions. Ils sont la clé de la réussite de tous les élèves.»
« Si je suis élu, mon gouvernement sera limité à 15 ministres pour être plus efficace. »
« J’aime cette France de toutes les couleurs et de toutes les religions où s’entremêlent tant d’histoires, de souvenirs et de cultures. J’aime cette France de la diversité, des différences et des mélanges.»
« Le droit à la retraite à 60 ans doit demeurer, de même que les 35 heures continueront d’être la durée hebdomadaire légale du travail. Que ce soit un minimum, cela me va très bien. Ce que je n’accepte pas est que cela soit aussi un maximum.»
« Je ne pense pas qu’il y ait matière à beaucoup d’économies dans la santé. Compte tenu de l’allongement de la durée de la vie, du progrès médical et de l’aspiration bien naturelle de nos concitoyens à vivre en bonne santé, l’investissement dans la santé sera forcément majeur. »
« Je mets d’ailleurs les entreprises devant leurs responsabilités. On doit garder les quinquagénaires dans les entreprises »
Quelque chose à redire, Copé?
Les citations sont de Nicolas Sarkozy. Elles émanent de son propre abécédaire des promesses à tenir (que vous pouvez retrouver, puisque l’UMP l’a discrètement retiré du Web, sur le site Intox2007 ).