J'ai fait partie des cons qui ont voté Macron ! Ma quel cron! Moi je pensais qu'il voulait le bien du peuple. Ben ça y est, il l'a.
J'ai fait partie des cons qui ont voté Macron ! Ma quel cron! Moi je pensais qu'il voulait le bien du peuple. Ben ça y est, il l'a.
Qu'est-ce qu'on nous emmerde jour et nuit avec Benalla? Des gros bras, des claques merde, y en a toujours eu, demandez à Pasqua et au SAC. Autant dire que celui-là est gentounet. Calotter un manifestant, qui ne l'a fait , avec plus ou moins de zèle, demandez à NS pas encore président mais étudiant d'Assas !Alors quoi??? Personne ne voit qu'il s'agit d'une diversion, et que les gros lourdauds de droite comme de gauche se sont précipités dedans. La vérité est ailleurs, à vous de trouver...
Je suis un peu absent de mon blog en ce moment, devant héberger une attaque cybernétique passant par mon adresse email de connexion. J'ai ainsi des Martha Shoto, des Matie Nar, mais je pourrais en citer une centaine qui m'envoie des mails que bien sûr je n'ouvre pas. Le problème a été signalé à Overblog qui m'a fait savoir par réponse automatique qu'ils ne s'occupaient que des abonnés "Premium" !
Pour détendre l'atmosphère, je conseille à tous mes fidèles (le peu qu'il reste) de se procurer la revue "60 millions de consommateurs"sur ce que l'on nous fait bouffer. Grand désarroi promis.
Q La première fois qu’il est venu dans l’Hexagone, il y a 25 ans, c’était pour participer au festival Musiques Métisses d’Angoulême. Vu surtout comme un “fils de” dans son pays, Femi luttait pour montrer qu’il pouvait s’imposer tandis que son père était encore vivant, frôlant l’évanouissement à la fin de chacune de ses prestations scéniques. “J’étais à deux doigts d’arrêter avec mon groupe. Je n’avais plus d’argent, j’avais dépensé tout celui de ma mère. Une semaine de plus et j’aurais appelé mes musiciens pour leur dire qu’on ne pouvait pas continuer”, reconnait-il. Le patron du Centre culturel français de Lagos fait alors tout ce qu’il peut pour que Femi soit sélectionné dans le cadre d’une opération d’échanges culturels avec le Nigeria. Sur les bords de la Charente, le musicien partage l’affiche avec la star du reggae Jimmy Cliff. Le lendemain, il fait la une des journaux locaux et sait qu’il vient de marquer des points décisifs pour la suite. Un sauvetage in extremis, dont la saveur demeure toujours intacte aujourd’hui. ui se souvient de Fela, le musicien nigérian aux 100 femmes? J'ai connu son fils, je l'ai aidé...
C'était moi, je dis ça juste pour expliquer mon salaire...
Tout le monde savait que Jauni était un peu allumé. Souvent même carbonisé le soir, noir c'est noir. Il avait aussi l'envie d'avoir envie de nanas avec son pénis entier. C'est sûr aussi qu'il a eu un problème avec ses enfants qui eux aussi avaient l'envie... du pognon. "Je te promets" leur disait leur dabe ! Sauf que Laura l'aura pas et que David, d'avide doit se contenter de clopinettes de barbecue. Pourtant, il la connaissait la chanson de son père "J'ai oublié les vivres"...
Bon, en fait, peut-être qu'il avait le blues , Jauni. Alors peut-être aussi qu'un jour viendra qu'à Saint Barth (surtout n'ayez pas peur)... vous verrez au-dessus des tombes,un feu follet.
Voilà, mon ami languedocien, tu ne connaîtras pas la suite. Mais tu étais assez finaud pour la deviner. T'es sans doute mieux là-bas, là-haut ou je ne sais où. Ton départ est un peu lâche, surtout si tu savais. On sait bien que l'an neuf, c'est de la rigolade : c'est le lendemain de l'an vieux. Alors on s'empiffre, on se bourre la gueule pour ne pas voir qu'il n'y a pas de différence. L'an dernier, on s'en fout comme de l'an 40! Et pourtant c'est le moment choisi par ceux qui nous gouvernent pour augmenter le diesel, les clopes, la CSG, les péages,les PV, les timbres, les forfaits hospitaliers, etc... Tiens, en y regardant bien, je suis sûr que les obsèques ont été eux aussi augmentés. Mais tu te fous bien de tout ça, maintenant, que l'accès au paradis soit un peu plus cher. Et qui sait, le Bon Dieu rembourse...
Un homme qui aimait le sport, la bonne bouffe, le pinard et surtout les femmes ne pouvait pas franchement être mauvais. Marc, tu vas me manquer !
Le Bourguignon...
Ne nous y trompons pas, la droite est pleine de ressources et son bougnat est bien plus dangereux que le nain de Neuilly. S'il le fallait, en voici un plus manichéiste plus ambitieux, plus pervers, avec ses yeux torves, comme si c'était possible. Finalement, ceci laisse apprécier le fait que tous les républicains n'adhèrent pas à ce néofasciste.
D'un autre côté, Macron prétend que la femme africaine est irresponsable avec ses six ou huit enfants. Ayant vécu un certain nombre d'années en Afrique de l'ouest, je souhaiterais rectifier un propos qui visiblement repose sur une méconnaissance du sujet:
La femme africaine " des villes", fait comme toutes femmes, appel à la contraception. Dans la ruralité africaine, non seulement ce n'est pas possible, mais dans un milieu où la mortalité infantile est des plus élevées ( en Sierra Leone, on ne déclarait un enfant viable qu'à ses six mois (e 1985)) mais il faut aussi considérer que les enfants sont les garants de la retraite des parents et de leur sécu.
Monsieur Macron, l' ENA ne vous a pas enseigné ça?
A quarante balais, le Raymond et la Francine ne s'aimaient plus d'amour tendre. Ils vivaient en couple depuis vingt ans, ni mariés ni pacsés, dans une grange retapée que Francine avait racheté à son grand-père. C'était dans un hameau perdu de la côte chalonnaise. Ils avaient ensuite rajouté une cuisine, payée fifty fifty par le couple. Ah oui, ils avaient aussi un compte commun, pas d'enfant mais un chien, le Kiki, et une poule. Ils avaient chacun un boulot à Dijon, à 60 km de leur paradis.
Le jour où le Raymond se tira, ayant au préalable pris soin de vider le compte commun pour un compte perso ouvert en catimini, il laissa la Francine bien décontenancée. Des négociations s'ouvrirent d'où il ressortit le traité suivant :
- pas possible de vendre la maison, car le corps du bâtiment appartenait à la Francine, mais la cuisine rajoutée appartenait aux deux...
- Pour le Kiki, il serait mis en alternance, une semaine chez son papa, une semaine chez sa maman.
- Les deux décidèrent de s'établir à Dijon, la Francine chez un cousin, le Raymond dans un T2
- Pour la poule, il fut décidé que chacun irait la nourrir un jour sur deux dans la côte chalonnaise... Et oui, un jour sur deux soixante km X2 pour aller nourrir une poule. Bon avant, ils devaient se taper ce trajet là tous les jours...
Bien vite, la Francine se rendit compte que la poulette ne mangeait qu'un jour sur deux, le Raymond manquant à ses obligations.
Elle demanda à sa cousine qui vivait dans la vallée, à quelques encablures, si elle ne pouvait pas venir de temps en temps surveiller si le Raymond nourrissait sa moitié de poule. La cousine, qui elle même en élevait trois, ne se voyant pas grimper la colline tous les deux jours , dit à la Francine que, tant qu'à faire, elle préférait prendre sa poule en pension.
Le jour où la cousine récupéra la poule, celle-ci eut vite fait de repérer l'auge à pâtée. Les trois autres poules, compatissantes, la laissèrent faire. La poule picora durant 45 minutes, vidant pratiquement l'auge. A se demander où une poulette aussi maigrelette avait pu mettre tout ça...
Quand la cousine me raconta cette histoire - car elle est vraie- je regardai sur internet combien pouvait coûter une poule. J'en ai trouvé une, de 70 semaines, à 2€ ! Puis j'ai trouvé mieux...
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Bon, si j'ai bien compris, vaut mieux être riche et bien portant que malade et sans le sou. Francis Blanche l'avait compris avant moi.Donc, on donne plus aux riches pour qu'ils soient encore plus riches et forcément, ça va retomber sur les pauvres. Ben oui, ça avait marché sous Louis XIV. Y va y avoir des emplois de boniches, de domestiques, de maîtresses, de coursiers, de bawab, de concierges, de cireurs de pompes, de laquais, de videurs de chiottes, de serviteurs, de précepteurs, de sous-fifres, de pov'cons, à gogo... ce qui mettra un terme aux fainéants fouteurs de bordel!
Elle est pas simple la vie?
Qui avait entendu parler de Weinstein? C'était parait-il un producteur de ciné qui se tapait des starlettes... Dire qu'on a vécu avec cette infamie sans la connaître, jusqu'à ce qu'une des victimes se manifeste. Du coup, pour toutes les nanas qui avaient recherché la voie la plus directe pour faire du cinéma, il importe de se retrouver avec une histoire de harcèlement, de propositions salaces et autres abus du producteur ! Vous vous rendez compte du risque? Une qui n'aurait pas été draguée passerait pour un thon...
Et dire que pendant ce temps, Alizée met un terme à sa carrièreet qu'on ne verra plus sa petite culotte !
Quelle époque formidable !