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19 août 2009 3 19 /08 /août /2009 08:38
Luc Châtel pris la main dans le sac lors d'une visite improvisée, mais mise en scène, dans un supermarché.

Venu de façon impromptue, mais suivi par force journalistes de la presse et des télévisions, constater la baisse des prix des cartables, il rencontre  "par hasard" des mères de famille qui sont "par hasard" de l'UMP et qui lui chantent toute leur satisfaction!
 

D'après France 2 ce matin, ces braves dames, après avoir mis quelques fournitures scolaires dans leurs caddies mais qu'elles ont laissées sur place sans les payer au départ du ministre, auraient été vues en train de quitter le parking....dans la même voiture. Bref un procédé élégant destiné déjà utilisé par Morano l'an dernier à Marseille, et par le chef au salon de l'agriculture! On apprend vite à être fourbe quand on a des dispositions...et des maîtres!
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19 août 2009 3 19 /08 /août /2009 06:55
Franchement, il y a des parents inconscients et qui mériteraient des baffes. Tenez, pas plus tard qu'hier, à la télé (parce qu'il y a toujours une caméra au bon moment), ils montrent un gosse débouler sur son vélo, et sans regarder, d'une luxueuse propriété du Cap Nègre! Au milieu de la circulation! Et sans casque s'il vous plaît! Ben voyons. Et sans sa gourde non plus! Et sans les petites roues à l'arrière pour assurer son équilibre...Heureusement que des policiers à bicyclette (parce qu'il y a toujours des policiers à bicyclette au bon moment) l'ont entouré pour le ramener à la maison. Non mais c'est typiquement le genre de gosse qu'on laisse aller se baigner en plein cagnard au milieu des méduses sans surveillance et sans qu'il mette sa casquette au risque de choper une insolation. Vous savez, ces gosses abandonnés et qui vont jouer dans le tout-à-l'égout parce qu'ils s'ennuient. Oui, les mêmes qui vont attraper la grippe aviaire le jour de la rentrée pour faire fermer leur école....
A la télé, ils ont juste montré la mère deux secondes, une grande bringue évaporée, genre artiste anorexique...vous voyez le genre! 
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18 août 2009 2 18 /08 /août /2009 08:13
Suite à l'attentat contre les tours du World trade center de New York en 2001, l'Amérique de Bush avait entraîné une coalition internationale pour une partie de chasse au Ben Laden en Afghanistan dont les talibans firent les frais dans un premier temps, ayant eu la mauvaise idée d'accueillir à bras ouverts le terroriste et sa petite entreprise. Les talibans devaient d'ailleurs largement leur accession au pouvoir à ces mêmes américains qui voyaient d'un mauvais oeil  un gouvernement Afghan pro-russes à Kaboul qu'ils essayèrent de déstabiliser, entraînant l'invasion soviétique du pays. Les américains laissèrent donc leurs alliés pakistanais aider discrètement les talibans à prendre le pouvoir et à chasser les russes.
Toutes ces précisions pour dire qu'il s'agissait bien d'une opération de géo-politique et n'ont d'une oeuvre philanthropique à visées civilisationnelles, n'en déplaise aux femmes afghanes.
Qu'en est-il huit ans plus tard, à deux jours d'élections "démocratiques" dans le pays? La plupart des afghans n'ont toujours ni eau courante ni électricité, l'insécurité règne et les talibans sont aux portes de Kaboul. Ben Laden court toujours avec son pote le Mollah Omar. la manne  représentée par les milliards d'aide versés sur le pays n'arrive visiblement pas jusqu'au sol, pompée par la corruption. Seule la production d'opium se porte bien:  tombée à 35 tonnes par ans sous les talibans qui en avaient interdit la culture, elle était en 2007 de 8200 tonnes! Enfin, la plupart des futurs électeurs qui braveront les menaces talibanes pour aller voter, n'ont aucune idée du sens de ce vote et encore moins de qui sont les candidats. Bien entendu ont cours toutes les magouilles que l'on ne verrait pas chez nous telles que donner de l'argent aux électeurs pour acheter leur vote...
C'est un petit peu l'échec d'une main de fer contre des afghans qui ne sont pas de velours....


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18 août 2009 2 18 /08 /août /2009 06:54

Le Jojo lutinait la Louise depuis suffisamment longtemps pour que personne ne trouve rien à redire à ce qu'il la marie. En plus, elle était d'accord. Le Hic, car il y avait un hic (et même plusieurs), c'est que la Dédée, la mère du Jojo, buvait. Et pas qu'un peu. Elle avait un faible pour le ratafia, qu'alle lichait en douce, et ne crachait pas non plus sur l'aligoté de la production familiale. Et le Jojo craignait que pour la noce, ça fasse désordre, la môman du marié bourrée. Et là il pensait au banquet, mais c'était même pas dit qu'elle passe la messe. Il s'en ouvrit au Riri, son père, qui pour toute réponse dit : "t'inquiète pas Jojo, j'm'en occupe!".

On prépara donc  la noce dans les règles de l'art et la Dédée eut même son mot à dire dans ses instants de lucidité, c'est à dire plutôt pendant son sommeil. Le jour de la cérémonie, le rassemblement avait lieu chez la Louise d'où devait partir le défilé, et là on vit bien que l'Riri était seul. Endimanché, mais seul. Où donc qu'est-y la Dédée demanda la belle famille à qui le Riri cloua le bec en affirmant que sa femme vomissait triples boyaux et qu'elle avait des vers. A peine entendit-on un petit malin rajouter perfidement: "...dans l'nez!". L'assemblée compatit pour la forme et le cortège s'ébranla. Ici, on ne cherchait pas midi à quatorze heures, du moins c'est ce qu'on prétendait.

Le facteur était en train de se percer les boutons noirs en se regardant le pif dans le petit miroir suspendu à la crémone de la fenêtre de sa cuisine, quand il cru halluciner : le pommier là-bas dans le pré du Riri avait bougé. Il fila vite fait chercher les jumelles qu'il avait achetées dans le catalogue Manufrance et qui grossissaient neuf fois. C'était la première fois qu'il les utilisait et il eut du mal à les sortir de l'étui.

Et là, il vit, ligotée à l'arbre, bâillonnée, mais visiblement pas assoupie, la Dédée privée de mariage.

L'histoire fit bien sûr le tour du pays et un petit malin eut d'ailleurs le mot de la fin: " Ah? ligotée....ben elle a été punie par où elle a péché!"...

(l'histoire est authentique même si elle a été (à peine) romancée)!

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17 août 2009 1 17 /08 /août /2009 07:45
En ce temps là, NS Président dit à ses disciples que l'homme africain n'était pas assez entré dans l'Histoire. C'est vrai que les noirs, qui vivent à moitié nus passant leur temps à essayer de coincer leurs femelles, ne sont que de grands enfants indisciplinés, joueurs, paresseux, bref pas très sérieux. Faut dire aussi que lorsque nous tentâmes de les faire rentrer dans l'Histoire, ce fut par la porte de sévices. Ce n'est pas avec les croisières paquets que nous leur organisâmes vers des directions de rêve telles que le Brésil ou les Caraïbes et pendant lesquelles ils voyagèrent entravés à fond de cale, que leur créativité et leurs dispositions purent s'épanouir. Certes, sur place, le travail était coton, mais une fois qu'ils en eurent marre de se faire casser de la canne à sucre sur le dos, ils choisirent de partir en courant. Et forcément, lorsque l'on devait courir plus vite que les balles tirées par les escopettes des blancs, même en zigzag, il valait mieux ne pas chômer.
Il est curieux de constater que, bien que l'Histoire soit passée par là, des années plus tard l'athlétisme conserve la mémoire de cet affligeant passé. D'abord, vous constaterez que très souvent, les entraîneurs sont blancs quand les coureurs sont noirs. Si les escopettes ont été remplacées par un starter qui en principe tire en l'air, on remarquera le conditionnement du noir, qui, n'accordant à celui qui tire qu'une confiance relative, en profite pour détaler comme un lapin à une vitesse supersonique! Et pour quel résultat, diable, 9 secondes 58 au 100 mètres, de quoi, ironie du sort, rentrer dans l'Histoire!
Nous observerons également que jusqu'à présent, aucun athlète blanc n'est parvenu à descendre sous la barrière des 10 secondes, quand les noirs sont des dizaines. Mais ceci n'entre-t-il pas dans l'ordre des choses: les noirs courent pendant que les blancs discourent. Attention toutefois, avec le réchauffement climatique l'homme blanc, sensible aux malaises lipothymiques, aura de plus en plus de mal à suivre l'homme noir dans cette histoire là!      
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16 août 2009 7 16 /08 /août /2009 08:05
Voilà t'y pas que Villiers et les chasseurs veulent rejoindre l'armée mexicaine! Ca va commencer par faire beaucoup de caporaux pour pas beaucoup de soldats! Après les transfuges, les renégats, les opportunistes, les judas, les hypocrites.... débarquent les faux-culs. Ils viennent en espérant sauver leur pré carré, leurs privilèges, ils viennent pour survivre. Et dire qu'il y en a tant d'autres qui voudraient bien faire la même chose mais qui n'osent pas! Pas encore! Je n'ai pas besoin de donner des noms, vous les connaissez, ils vous représentent en attendant, prêts à manger à la soupe populiste pour une miette de pouvoir à la première occasion. A chacun son restaurant du coeur!
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16 août 2009 7 16 /08 /août /2009 08:00

Un petit extrait du "Sottisier des Collèges" de Philippe Mignaval...

- La philosophie est une science qui dit qu'il ne faut pas s'en faire.

- La devise de Socrate était: "Connais-tu ta mère?" et il avait bien raison.

- Diogène vivait dans un tonneau et respirait avec une paille.

- Descartes: "Je pense donc je suis" signifie qu'il faut suivre ce qu'on pense...

- Sartre: "L'existence précède l'essence" veut dire qu'on vivait très bien avant la découverte du pétrole.

- D'après Sartre, il n'y a aucun intérêt à faire la guerre, surtout si c'est pour la perdre.

- Grande question: les personnes âgées sont désagréables mais on ne peut quand même pas les tuer à la naissance.

Une brève incursion dans les Arts pour signaler que Géricault a peint notamment "les trompettes".....

et en conclusion.....si Voltaire était encore vivant, il se retournerait dans sa tombe!

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15 août 2009 6 15 /08 /août /2009 12:48

ZEN

Ce qui manque à NS Président, c'est un conseiller qui sache lui dire, dans un langage simple, qu'il comprenne, "Vas-y mollo"!.....moi, par exemple...

NS en Afghanistan: Vas-y mollah!

NS et les syndicats: Vas-y mords-les!

NS et l'environnement: Vas-y mulot...

NS et Carla: Vas-y mets-la!

NS et le Pape: Vas-y mulet...

NS et le jogging: Vas-y mollet!

NS et Ingrid: Vas-y mélo...

NS au Louvres: Vas-y Milo!

Car moulu, c'est sûr, il mollirait! 

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15 août 2009 6 15 /08 /août /2009 07:42

On va sûrement me dire que je divise des carottes avec des petits pois, mais lorsque l'on annonce une augmentation de notre  PIB tellement inattendue que même les pythies de notre génial gouvernement n'ont rien vu venir, je m'interroge. Le PIB, c'est  je crois la production interne de biens et service de consommation et de biens d'équipement d'un pays
  pendant une période donnée. S'il augmente, c'est qu'il y a un accroissement de l'activité, donc du travail en plus. Alors pourquoi, sur la même période devrait-on compter 75 000 chômeurs supplémentaires qui eux-mêmes succèdent aux 175 000 du trimestre précédent? Les licenciements seraient-ils donc dûs non pas à un manque de travail, mais à une recherche de profits supplémentaires, en faisant travailler davantage, mais pour le même prix, ceux qui restent? D'autre part, on nous dit que ce fameux PIB a augmenté grâce à une consommation soutenue des ménages. Soit! Mais soutenue par quoi? L'augmentation du pouvoir d'achat entraînée par la baisse supposée des prix ou par des primes de licenciements aussitôt dépensées? Un énarque me dirait probablement que comme les prix baissent, les gens consomment plus mais que les entreprises, pour maintenir leur compétitivité et leurs marges, sont obligées de dégraisser tout en produisant davantage.....Tiens, à partir d'aujourd'hui, l'électricité augmente de 1,9%!  Ça sent le gaz...
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14 août 2009 5 14 /08 /août /2009 08:05
Le paludisme fait de un à deux millions de morts par an, alors qu'une simple distribution de moustiquaires pourrait prévenir de façon sensible la propagation de cette maladie...mais ce n'est pas chez nous!
Deux millions d'enfants meurent chaque année de diarrhées qu'un simple sérum ou des sels de l'OMS pourraient soigner s'ils étaient plus largement diffusés...mais ce n'est pas chez nous!
La rougeole, c'est encore 350 000 morts par an, essentiellement des enfants pas de chez nous, alors que le vaccin existe!
La grippe normale et récurrente cause de 250 à 500 000 décès chaque année, principalement des enfants en bas âge et des personnes âgées, et pour une fois, chez nous aussi!
Mais qui en parle?
La grippe porcino-aviairo-mexicano H1N1 aurait fait 250 victimes de part le monde dont  deux ou trois chez nous. Pour en parler on en parle. Certes le virus semble très contagieux mais peu mortifère. Seulement voilà, on a acheté des stocks énormes de Tamiflu, médicament très moyennement performant, aux laboratoires Roche histoire d'être les seuls à survivre à la pandémie. D'autre part, trois laboratoires,  Sanofi Pasteur (France), Baxter (États-Unis) et Novartis (Suisse) font la course pour la mise au point d'un vaccin déjà retenu pour des quantités énormes par nombre de pays dont la France (100 millions de doses), le Canada (50 millions), le Brésil (18 millions)!
Et que fait-on, puisqu'il s'agit d'une pandémie, pour enrayer sa prolifétation? Y-a-t-il encore des mesures aux frontières?  Non. Empêche-t-on les gens de se rendre vers les destinations à risques (comme les Etats-Unis)? Non. Quelles sont les mesures concrètes prises en amont? Aucune. On ne va quand même pas entraver l'ultralibéralisme en temps de crise, non?

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